La graphie du titre dessine comme le nom d’une improbable marque de haute couture ou plus prosaïquement le sigle d’un document informatique dont on a étriqué le nom.
C’est un peu les deux ; parce qu’en effet il est question de costumes dans ce titre et que cet abrégé est né d’un échange de fichiers, ou comment les us du monde électronique produisent dans le mouvement de la création une heureuse contraction.
La compagnie rennaise Ladaïnha a produit une vingtaine de chorégraphies depuis sa création et parcourue l’Europe, l’Amérique du nord et du sud pour les présenter.
Elle est la (ré)union de deux danseurs, deux chorégraphes, deux artistes, deux nationalités, l’une anglaise : Michelle Brown, et l’autre brésilienne : Armando Pekeno.
« RB&QdP » sa dernière création, c’est « Robe Bonbon et Queue de Pie », « une poésie corporelle éclairant un rêve qui s’accroche et s’affine pour rentrer dans un monde réel ».
C’est « un élan positif de construction », une chorégraphie dans laquelle les costumes des danseurs sont blancs, immaculés et en papier, tuniques intactes dont l’éclat dissimule, corps recouverts d’une page encore vierge, à écrire, à déchirer, à transformer.
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C’est un peu les deux ; parce qu’en effet il est question de costumes dans ce titre et que cet abrégé est né d’un échange de fichiers, ou comment les us du monde électronique produisent dans le mouvement de la création une heureuse contraction.
La compagnie rennaise Ladaïnha a produit une vingtaine de chorégraphies depuis sa création et parcourue l’Europe, l’Amérique du nord et du sud pour les présenter.
Elle est la (ré)union de deux danseurs, deux chorégraphes, deux artistes, deux nationalités, l’une anglaise : Michelle Brown, et l’autre brésilienne : Armando Pekeno.
« RB&QdP » sa dernière création, c’est « Robe Bonbon et Queue de Pie », « une poésie corporelle éclairant un rêve qui s’accroche et s’affine pour rentrer dans un monde réel ».
C’est « un élan positif de construction », une chorégraphie dans laquelle les costumes des danseurs sont blancs, immaculés et en papier, tuniques intactes dont l’éclat dissimule, corps recouverts d’une page encore vierge, à écrire, à déchirer, à transformer.